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"...Il marche beaucoup dans la montagne, se nourrit de paysages grandioses qui l'inspirent, et qu'il peint pour alerter sur sa disparition, il marche longtemps, rentre épuisé, envahit par le paysage et jette le magma de ses pensées et de ses émotions à la foi émerveillées et inquiètes. Cela donne de grandes toiles travaillées à l'huile dans une couleur dominante savamment déclinée en petits chemins, en bosquets oubliés, en sources jaillissantes. Pas d'espace vide,pas de ciel, un horizon tourmenté qui s'oublie dans la matière végétale, une cohérence totale entre l'oeil qui capte et la main qui transcrit et le coeur qui se désole."
Annie Quillon journal Sud-Ouest
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